GALERIE DU CHAT A DEUX TETES
GALERIE-RESTAURANT-BAR

mardi 26 juin 2012

Fête de la musique suite et fin







La Goualante dans le parc du chat à deux têtes.



Le grand final autour du feu de la St Jean


( Crédit photo : Thierry Grimbard et Aurélien Rosset )

Vidéo Fête de la musique / feu de la St Jean


Belle ambiance pour la première fête de la musique au chat à deux têtes.

Un grand merci au public qui est venu nombreux au rendez-vous !

La buvette, et la machine à frite et à saucisses ont tournés à plein
et toute la soirée ambiance plein de convivialité
grâce a la prestation du groupe La Goualante,

super final dans le parc autour d'une grand feu
et l'intervention magiques des joueurs de cornemuse !

(Vidéo : Thierry Grimbard)

samedi 23 juin 2012

une partie des photos de la fête de la musique et du feu de la St Jean




La Goualante avec Filou le chanteur gouailleur
et l’équipe des musiciens vocalistes : Freddy à l'accordéon, Thierry au piano et Laurent à la batterie




Merci aux bénévoles


D'autres photos dans les jours qui viennent 

(crédit photos : Aurélien Rosset)

dimanche 17 juin 2012

samedi 2 juin 2012

Présentation des artistes





PHILIPPE MARIE

PHILIPPE MARIE

Philippe Marie est un artiste peintre. On le place dans les abstraits lyriques (importance de l’expressif et du gestuel), il travaille sur les éléments naturels et sur le principe vital universel (chi) propre aux arts martiaux. Son idée est d’utiliser des matériaux simples (terre, poudre, eau) et de chercher à donner une intelligence au tableau. Ses paysages sont à la limite du figuratif parce qu’il souhaite que le regard prolonge le travail. Philippe Marie définit ses tableaux comme étant des propositions picturales. Certains n’ont pas de sens, il peint en tournant autour du tableau, ce qui laisse le choix aux uns et aux autres d’avoir leur préférence pour l’accrochage (ses tableaux sont donc signés au dos).
« La peinture de Philippe Marie ouvre dans le réel une brèche qui nous conduit d’emblée au cœur de nos vies quand nous n’en parcourions, jusque-là, que les marges. »

Les grandes œuvres à la thématique large s'inspirent des paysages et des éléments.
On y retrouve l’expression de la force, un monde émergeant, bouillonnant, symbolique. La peinture est gestuelle, toute en mouvement. L'artiste œuvre à l'horizontal, la peinture à base de pigments du moulin d'Ecordal est projetée et travaillée au balai ou au racloir, le geste intimement lié à la matière. Les toiles de petites tailles qui s'accrochent aussi bien à l'horizontale qu'à la verticale sont de la même inspiration mais travaillées à la main qui donne l'impulsion, le mouvement. Le pinceau est rarement utilisé.

Bien que limité par l'espace le peintre exprime la même force en retenant le geste, le souffle. Un relief souvent important est obtenu avec différents ingrédients, cire d'abeille fondue, pigments, colle, sciure, poudre d'ardoise voire d'or que l'artiste teste empiriquement pour en vérifier la solidité.

Chaque tableau est unique, chaque œuvre n'est conservée que si elle émeut son créateur. Une installation en volume constituée de bâtons colorés agrémente le centre d'une des salles d'expo. Philippe Marie est autodidacte mais son grand-père peintre lui en a donné le goût.

Fidèle des expos de l'Echelle il y a aussi participé à la réalisation de livres.

Sources : http://www.chanzy.net      http://www.cndp.fr



JULIE FAURE-BRAC

JULIE FAURE-BRAC

Julie Faure-Brac est née en 1981 à Charleville-Mézières où elle vit et travaille.

Diplômée de l’ESAD de Reims en 2004, Julie Faure-Brac montre pour la première fois son travail dans un lieu institutionnel en 2005 au Frac Champagne-Ardenne, dans l’exposition Jeunisme II sous le commissariat de François Quintin. Elle y réalise une installation in-situ, Le Lac des morts, mêlant dessin en grand sur les murs et installation de silhouettes blanches empreintes dans de la terre noire.
Elle présente pour sa première exposition personnelle à Paris, à la galerie Eric Mircher, des sculptures et dessins d’Humanimaux, personnages hybrides mi-humain mi-sanglier, emblématiques dans son travail.

Elle expose des installations in-situ à Charleville-Mézières, sculptures d’Humanimaux dans les vitrines d’Eric Lenoir, ou récemment Monstrum, en Haute-Marne, dans une ancienne porcherie pour D’Abord les forêts. Elle crée des wall-drawing à Amiens ou St Dizier.

Elle réalise aussi des vidéos de quelques minutes, tournées la plupart du temps dans la forêt ardennaise. On y voit des personnages courir pied nus, se poursuivre et s’effondrer, le nez dans une flaque de lait (Mandragores), un arbre d’où s’écoule une cascade de lait (Volupté).
Mandragores a été diffusé de nombreuses fois depuis 2003, au festival Bandits-Mages de Bourges, aux festivals les Cinémas différents et Signes de Nuit à Paris, à Zagreb en Croatie, dans l’exposition Temple.






En 2006 elle conçoit, avec la collaboration de Rachid Ouramdane, danseur et chorégraphe, le projet Incantations, dessin animé interactif, projeté en très grand et expérimenté par le public. Elle le présente à la Nuit Blanche de Paris 2009 et au festival des Instants vidéo de Marseille en 2010.

Elle crée depuis quelques années des sculptures ou dessins de Porteurs d’esprits dont ce Porteur de l’esprit de la baleine échouée, sculpture exposée au château d’Avignon en 2011 et à la Conciergerie de Paris, pour l’exposition Bêtes off, en 2012.

Les critiques d’art Elisabeth Lebovici, Valérie Da Costa et Gaël Charbau ont écrit sur l’univers de Julie Faure-Brac dans différents catalogues d’expositions et dans son catalogue monographique Monde Autre édité en 2007. (en vente à la galerie du chat à deux têtes)

Son travail fait partie de collections publiques (FRAC Champagne-Ardenne), privées (The Zabludowicz Collection de Londres) ou éphémères comme l’Artothèque de Champagne-Ardenne (de 2008 à 2013) et a été soutenu par des aides de la DRAC Champagne-Ardenne, de la région Champagne-Ardenne et du Centre national de la cinématographie.
Elle travaille actuellement sur un projet de film, Chasse au cerf. Ses différentes expériences dans la création de sculptures, de dessins ou de vidéos et ses questionnements esthétiques ou philosophiques l’ont amenée progressivement vers ce projet de «dessin-film» ambitieux, et riche de différentes collaborations artistiques, notamment avec l’écrivain Franz Bartelt et le marionnettiste Simon Delattre.


OMER RESIC

OMER RESIC

Omer Resic est un artiste, peintre et graveur. Il est né  le 13 mai 1933 en Bosnie (ex Yougoslavie)

Après une école d’architecture, une école des arts appliqués et l’école des beaux-arts, il devient professeur d’art appliqués à Sarajevo.

Il se spécialise en peinture murale au Zagreb et réalise des  fresques, mosaïques et peintures murales en Yougoslavie.
En 1963 il s’installe en France et expose régulièrement en groupe en France,  en Belgique, Angleterre, Pologne et ex URSS.
Puis il expose seul en Yougoslavie, et participe en mai au salon d’automne de Paris.
Il réalise une maquette pour les vitraux à l’ambassade de Djibouti à Paris et édite des albums de planches sur des paysages ardennais.

En 1992 il s’installe à Saint-Denis  à la Réunion, où il enseigne le dessin, la gravure, la sérigraphie et la mosaïque aux Beaux-arts du Port.
Il éditera un album sur les rues de Saint-Denis, trois couleurs, en sérigraphie.
Il décore l’ancien hôpital des esclaves du musée Villèle (ile de la Réunion)

En 1997-1998 Il réalise un monument en l’honneur de François MITTERAND à Saint-Benoît. En 1999 il obtient un prix pour un projet de monument à la mémoire de Michel Debré.

Puis, il retourne vivre dans les Ardennes
2006 – Exposition-gravures peintures au centre européen des métiers d’art à Givet.
2008 – Installation à Charleville-Mézières : Exposition-gravures Galerie Lebon  avec Michel Bajot
et Simon Cocu.

ALAIN BAZIN

ALAIN BAZIN

Alain BAZIN est né le 29  février 1956 à Paris dans le  9ème.
Autodidacte, depuis l’âge de 11 ans il se passionne pour l’art.
C’est en travaillant en psychiatrie qu’il découvre l’art-thérapie.
Il effectue une formation d’art plastique pour se situer dans l’art contemporain.
Il expose successivement en Belgique au grand-duché du Luxembourg ,
en  Allemagne, au Japon , en Crête et bien sûr en France.


 On a pu le remarquer par ses interventions :

-Installation,  « mise sous pli » des objets intérieurs de la chapelle
de Don Bosco à Monthermé  en septembre 2011
-Performance/installation « mise sous pli » de la statue
Charles de Gonzague avec l’aide de l’association
Térébenthine à l’occasion de la Nuit Blanche  de Charleville en octobre 2011
-Performance visuelle au musée de l’Ardenne, peinture en
 direct derrière un verre avec Philippe Marie et Omer Resic sur une
 musique de Rimbaud blues projet  organisé par L’association Arcadeus
 à l’occasion, encore une fois de la Nuit Blanche en 2011
-Portes ouvertes d’atelier d’artiste invité  à  Noisy le sec en octobre 2011
- Performance/installation « mise sous pli » de la chaire de l’église
Saint Quentin  à  Aiglemont. Où il s’agissait d’une commande de la ville.

Mais aussi par des expositions de groupe et ses interventions scolaires :
--Associations des « Artistes Inconnus »
   Charleville Mézières (08) Hirson (02)  Revin (08)  Romilly/seine (10) - 1976 à 1983
-« Jeunes Talents » Chalons en Champagne (51) - 1985 ; 1986
-Salon « Images du corps » 76  Dieppe - 1993
-Galerie/musée ADZAK Paris 75014  -  1997 ; 1999
- « 3 artistes Champardennais »   
 « Nature et culture , et,  le vice versa » techniques mixtes, 146 x 114 cm
Acheté par la Ville d’Esch sur Alzette , Grand Duché du Luxembourg 
- expo / résidence d’ artiste au Centre d’Art Contemporain “passages” à Troyes en 2008
- Exposition perso/portes ouvertes des ateliers d’artistes de l’Aube
 galerie d’art du lycée agricole  Saint Pouange (10)